Salut l’ami·e, content de te retrouver ici. J’espère que tu as fait bon voyage. Bienvenue dans la petite bibliothèque des confins d’Andromède.
Tu y trouveras une liste de liens et de ressources qui te permettront, je l’espère, d’enrichir certaines de tes réflexions. Tu me pardonneras le site plutôt rudimentaire... j'ai d'autres qualités.
Ici, laisse libre cours à ta curiosité. Tu as entre les mains l’une des plus grandes synthèses jamais assemblée du savoir humain.
**Pour lire les fichiers .epub (ou ebook), il te faudra un logiciel de lecture. Je te conseille Calibre; un logiciel libre qui permet de gérer, lire et organiser ta bibliothèque numérique de façon simple et intuitive sur ton ordinateur.
**Si un livre t’ouvre un p’tit bout d’univers et que tu en as les moyens, achète-le. Soutenir les auteur·ices, les maisons d’édition et les librairies de ton quartier, c’est aussi ce qui rend tout ça possible. Si les libraires seconde main n’ont pas ce que tu cherches et que tu résides au Québec, jette un œil ici. Le site réunit plus d’une centaine de librairies indépendantes.
Bon, voilà qui devrait t'occuper pour un p'tit bout. Si tu ne sais pas par où commencer, je propose ici un livre qui, selon moi, mérite une place dans ta bibliothèque.
C’est un bon point de départ vers une tête un peu plus lucide et résiliente. 6 heures bien investies.
Normand Baillargeon – Petit Cours d’Autodéfense Intellectuelle (2005)
Si par chance il t’est utile, je te conseille de l'acheter.
Et un autre, celui-là pour t’aider à retrouver ton chemin jusqu'à la maison.😊
Carl Sagan – Cosmos (1980)
Une idée devient utile quand elle circule. Si tu crois que ces ressources peuvent servir à d'autres autour de toi, passe le mot et n’hésite pas à télécharger cette affiche. Je t'invite à la partager où bon te semble.
Tu peux également me joindre si jamais...
En espérant que quelque chose ici te serve et au plaisir de se recroiser.
« Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre […]. » – Goethe (1794)
« Je pense à la chaleur que tisse la parole autour de son noyau le rêve qu'on appelle nous.» – Tzara (1931)